Le tri sélectif des déchets est une tendance croissante qui vise à augmenter l’efficacité des ressources. Les recherches menées par Ankinee Kirakozian, membre du CNRS, au GREDEG (Institut de recherche scientifique de Côte d’Azur) montrent que les individus peuvent trier et séparer leurs déchets différemment des autres.

Tri à la source

Le processus de gestion des déchets implique l’utilisation de sacs blancs et noirs pour séparer les déchets combustibles et les déchets alimentaires. Cependant, un mauvais tri peut augmenter la quantité de sacs poubelles nécessaires. Plus précisément, les déchets qui ne sont pas triés occupent la plus grande partie des sacs blancs et noirs, ce qui entraîne une utilisation inutile de ces sacs. Par conséquent, les coûts engendrés par cette utilisation supplémentaire de sacs poubelle sont importants : dans la zone pilote, l’utilisation supplémentaire de ces sacs s’élevait à 17 810 SEK par an.

Un énorme corpus de recherche a été effectué sur le BSS depuis les années 1990, avec de nombreux algorithmes proposés pour résoudre des problèmes de séparation spécifiques. La plupart des développements, cependant, ont porté sur la séparation de la parole et de la musique.

Coûts

Le tri par sélection est un algorithme qui compare des éléments. Ses avantages par rapport au tri par insertion incluent une utilisation moindre de la mémoire, et il peut être implémenté sans branches imprévisibles. Au lieu de cela, l’algorithme trouve l’élément le plus bas dans une liste, puis produit une liste de résultats. De cette façon, l’algorithme réduit le coût global de la mémoire et diminue la durée de vie globale de la mémoire.

Le tri par sélection est efficace en espace, et sa complexité temporelle est O(1). Il utilise 2 variables pour permuter les éléments et une troisième pour garder la trace du plus petit élément dans un tableau non trié. Il est également plus rapide que le tri par insertion et le surpasse dans la plupart des tests.

Avantages

Le tri sélectif est un algorithme de tri par comparaison simple. Son principal avantage est qu’il effectue le moins de permutations possible. Dans cet algorithme, la boucle externe compare la valeur d’une sélection avec les autres valeurs de la liste. Cette opération est répétée n fois. L’avantage de cet algorithme est qu’il peut être utilisé dans des applications où la mémoire auxiliaire est limitée.

Le tri par sélection est également meilleur que le tri par insertion pour le nombre d’écritures qu’il effectue. Il effectue n/2 permutations, contre n écritures dans le tri par cycle. Ceci est important car la mémoire est chère, et chaque écriture réduit sa durée de vie. De plus, cet algorithme peut être implémenté sans branches imprévisibles, ce qui le rend facile à coder. Comme l’échange est effectué sans condition, il est plus rapide que le tri par insertion.

Convenance

Un tri par sélection est une méthode de tri d’un tableau sans tenir compte de l’ordre dans lequel les éléments ont été initialement disposés. Cette méthode utilise une boucle interne pour vérifier la valeur de chaque élément avec les autres valeurs du tableau. La boucle interne s’exécute n fois. Ensuite, elle permute les éléments et répète ce processus jusqu’à ce que l’ensemble du tableau ait été trié.

Le tri sélectif est un algorithme relativement simple qui fonctionne en parcourant de manière répétée une liste d’éléments et en décidant d’en choisir un qui est cohérent avec l’ordre. L’algorithme place ensuite cet objet dans la fonction appropriée de la collection. Comme le processus est simple, il ne nécessite pas beaucoup de frais généraux.

Fonges en suspension dans l’air

Les champignons en suspension dans l’air peuvent causer divers problèmes de santé, et la présence de champignons sur le lieu de travail pourrait être nocive pour les travailleurs. Heureusement, il existe différentes méthodes pour réduire le risque d’exposition aux champignons. L’une des méthodes les plus courantes consiste à utiliser des échantillonneurs par impaction. Ces appareils utilisent l’inertie des particules dans l’air pour séparer les spores et autres matériaux du flux d’air. Une fois cette séparation effectuée, les échantillons peuvent être filtrés et soumis à une série de techniques analytiques. Certains types d’échantillonneurs peuvent être utilisés pour les spores totales, tandis que d’autres sont conçus pour les champignons cultivables.

Les niveaux de champignons et de bactéries en suspension dans l’air ont été mesurés dans une station de métro de Séoul, en Corée du Sud. Les concentrations de champignons en suspension dans l’air étaient plus élevées dans l’enceinte de la station et dans la chambre des travailleurs, mais elles n’étaient pas significativement différentes dans les zones d’activité en surface ou souterraines. Les espèces et les genres qui présentaient des taux de détection supérieurs à 5 % comprenaient Penicillium, Cladosporium et Chrysosporium.

Risque pour la santé

Il existe différents types de preuves qui indiquent que les inégalités en matière de santé augmentent en raison du tri sélectif. Un exemple est l’étude longitudinale de l’ONS, qui fournit des microdonnées liées sur la santé des personnes dans différentes zones. Les résultats de cette étude montrent que le tri sélectif contribue à un gradient de déficience sanitaire plus important que la mobilité. Cela est particulièrement vrai pour les migrants et les personnes qui restent.

Les auteurs de l’étude ont comparé les résultats de santé de groupes de migrants et de personnes qui restent dans différents types de zones et classes sociales. Ils ont constaté qu’en raison du tri sélectif, les gradients de santé deviennent plus larges et plus raides.